À propos de moi,

Mon parcours en sophrologie démarre il y a quelques années maintenant, à l’époque où j’ai arrêter de fumer. J’ai décidé de prendre ma vie en main. A l’aide d’une amie naturopathe et d’une bonne dose de volonté, j’ai commencé à écouter des méditation guidées, basées sur la respiration, sans que je sache alors que j’étais en train de pratiquer ce qui est aujourd’hui mon métier. Je cherchais un moyen d’aller vers un mieux-être de tout mon Être. Je voulais me sentir mieux dans ma tête, mieux dans mon corps, m’accepter, sentir que j’avais de la valeur, une consistance d’Être que je n’avais alors pas encore ressenti. Je voulais me sentir écoutée. Mais avant de me sentir écoutée par l’autre et les autres, il m’a été nécessaire de commencer à m’écouter moi-même, sans me juger.

J’ai eu la chance de me faire former à la Sophrologie Caycédienne à l’école Vifia de Toulouse, par Carmina Pueyo qui a été mon Soleil Révélateur pendant mes 18 mois de formation.

C’est même une double chance puisque j’ai été enceinte et en post-natal pendant cette période, ce qui m’a permis une intégration extrêmement puissante de ce que je vivais. J’ai pu ainsi me rendre compte de l’étendue des possibilités existentielles de la Sophrologie, dans la maternité.